Collection Homme Femme. Phil &Amp; Iris. Voyage De Noces À Venise. Fin De La Saison I (3/3)
Bon séjour, voici ma carte avec mon numéro de téléphone.
Vous voyez, les gondoles amarrées sur ce ponton sont ma propriété depuis mon retour de Paris ainsi que le moscafi, bateau taxi qui nous a amenés.
Comme je te lai dit, je travaille avec votre hôtel.
Attends, je taide à descendre.
Une fois de plus, jai beau savoir que les Italiens sont cajoleurs, mais quand il prend la main de ma femme et quil la garde plus que de raison, si pour certains ça les aides à bander, moi pas.
Comment sappelle ce genre de mec qui prenne leur pied à regarder sa femme se faire sauter devant eux ?
Oui, des candaulismes.
Buongiorno signorina e signore.
Soyez les biens venus à Venise et à lhôtel Danieli.
Ludivine, conduisez ces signors dans la suite 69.
Suite 69, Iris devient rouge pivoine.
Simplement le décor autour de nous est grandiose.
Nos parents voulaient le meilleur pour nous, ils nous ont plus que gatté.
Jusque dans la chambre style empire.
Le lit impressionne Iris.
Certainement deux mètres sur deux.
Je vais te perdre mon amour dans un tel lit.
Une des deux fenêtres est ouverte.
Nous sommes en hauteur, mais la foule est si dense pour se rendre au pont des soupirs que le bruit monte jusquà nous.
Iris va vers la salle de bain et en ressort nu.
Ai-je dit quelle est belle dans sa blondeur ?
Certainement, car cest la vérité.
Quelle chance jai eue dépouser une telle femme.
Va te doucher, je vais défaire les affaires pour la nuit, je tapporte ta trousse de toilette.
Je la croise, je lui prends larrière de ses boucles blondes.
Pour la millième fois, nos bouches se croisent.
Mille, cest un doux euphémisme.
Mille, dix milles, cent milles, pas dexcès tout de même.
Ma main descend vers sa toison quelle trouve sans peine, depuis que nous avons dit « oui », elle mest acquise.
Je me vois bien commencer notre voyage de noces par une jolie partie de jambes en lair sur ce lit, cette table voire carrément sur la moquette plus épaisse que toutes celles que jai eu le plaisir de fouler.
Va te doucher, je veux aller faire des photos du pont des soupirs avant de fouler la place Saint Marc.
Elle mabandonne comme une chaussette trop vieille et va vers nos bagages posés par le bagagiste avant notre arrivée.
Oh ! son petit cul, sans la moindre trace de ce que les femmes ont peur dapercevoir surtout en vieillissant, de la cellulite.
Un gros soupire sort de ma bouche.
À mon tour je vais dans la salle de bains.
La chambre est merveilleuse et la salle deau est à lunisson.
Robinet doré, le tout en marbre rose.
Un seul de ces robinets doit coûter le prix de notre voyage de noces, avion compris.
Jentre dans la baignoire, mais jouvre la douche.
Leau est parfaite quand Iris mamène mes affaires.
Si elle savait leffet quelle me fait en tortillant son joli derrière, certainement sans sen rendre compte.
Ma queue, elle sen aperçoit.
Surtout mon gland qui se redresse.
Je me tourne, si elle en fait de même elle risque de soffusquer que je bande derrière son dos.
Je finis mes ablutions, mais je suis toujours dans cette position dite du « garde-à-vous. »
Sécher, je vais dans la chambre.
Jai dit quune fenêtre était ouverte et quil y avait un balcon.
Iris toujours nue est appuyée sur la rambarde de pierre ses très beaux globes protégés par ses mains.
Jarrive par-derrière.
Iris, je te rappelle quil y a des gens qui circulent sous ce balcon.
Je me colle à elle, son globe charnu est obligé de sentir la situation.
Ils sont si bas et nous si hauts, je suis sortie, car jai entendu un cri.
Mes mains passent sous les siennes.
Ses pointes sont exacerbées.
Je sais quelle aussi à envie.
Sur le ponton des gondoles, je vois Livio assis sur la rambarde du quai, il lève la tête juste au moment où Iris méchappe.
A-t-il vu la nudité dIris, jai autre chose à faire que de me poser cette question.
Jessaye de lattr, elle séchappe et par vers la salle de bain.
Je commence à lui courir après, voyant que je suis sur ses talons, elle bifurque vers la seconde pièce où se trouve une table, des chaises et des fauteuils en tissu bleu.
Elle détale passant derrière la table.
Jen fais de même, mais elle saute sur le fauteuil bleu.
Je la suis, il se couche et je métale.
Ça sert dêtre souple, roulé boulé et je suis sur mes pieds.
Pendant ce temps Iris est monté sur le lit, je la ratt et à quelques centimètres je la ratte quand elle se sauve de nouveau.
Mon dieu quel cul, je bande, je cours, il me la faut.
Deux tours de piste et je finis par la pécho près de la table.
Je me colle à son corps.
Mes seins !
Oui, mon amour tes seins.
Iris depuis que, je lai dépucelé aime diriger nos ébats.
Ma bouche descend sur le droit.
Je le tète comme jespère le fera notre premier que je compte bien lui faire pendant notre voyage.
Pourquoi pas maintenant ?
Ils bandaient sur le balcon, je sens quils sont exacerbés sous ma langue.
Mon nombril maintenant.
Aller, tu veux jouer, mais fais ça bien.
Je sais quils existent, certains beaux gosses qui savent parler aux femmes.
Jarrête le mouvement de langue dans la profondeur de son nombril et je lève la tête comme un chien quémandant un os à sa mémère.
Par chance, ses yeux verts remplis damour contredisent ses paroles.
Javais peur quelle pense à notre vil séducteur.
Elle sassoit sur la table écartant ses cuisses.
Ouf, je récupère mon amour à moins que dans sa tête Livio soit plus proche de nous que je le pense.
Il faut que je le chasse de ses pensées sil y est venu parmi nous.
Je sais depuis le temps quelle aime les cunnilingus, du moins les miens.
Rapidement elle senvole.
Non, elle risque de passer par la fenêtre et de planer vers qui lon sait.
Je bande comme jamais.
Je me redresse, je la prends par les hanches et cest elle qui me prend la queue pour la mettre en elle.
Jai une seule peur, décharger trop vite avant de la satisfaire.
Il faut quelle parte avant moi.
« Il est dès notre, il a bu son verre comme les autres. »
« Prends un par la main. »
Non, pour un , il faut du sperme et je veux retenir le mien.
« Le curé de Camaret a les couilles qui pendent et quand il... »
Ça cest bien, voire les couilles dun curé dans ma tête, ça ralentit le moment de la création de notre .
Oui, Phil, oui Phil, oui Phil ouiiiiiiiiiii.
On comprend que je sois au sommet de mon plaisir comme elle lest, elle aussi.
Nous jouissons simultanément.
Ou sont-ils les Livio, Pedro, Guiseppe, Aldo, Sylvio, Livio.
Surtout pas Sylvio, le pays en a eu un pendant des années, inutile de le faire revenir quant à Livio que dire.
Bref quand nous rejoignons la salle de bains, cest le mâle dominant Français qui vient de terrasser sa belle pouliche française elle aussi.
Vive la France.
Une fois ma queue propre, bien que la cyprine dIris quand je la sentais sous ma langue était loin de la salir, nous nous habillons bon chic bon genre et les clefs déposées, je lentraine soupirer...
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